Tunis le 30 Juin 2018 Colloque sur le Conseil de Sécurité en prévision de la Candidature de la Tunisie en qualité de membre Non- Permanent (2020/2021) organisé par L'Association des Anciens Ambassadeurs et Consuls Généraux de Tunisie Eléments pour une intervention : L'entrée de la Tunisie au Conseil de Sécurité pour servir en qualité de membre non permanent pour la période 2020/2021, vingt ans après notre dernier tour au cours de la période 2000/2001, constitue à mon sens une occasion pour nous de nous arrêter un moment sur l'évolution qu'a connue la scène politique internationale ces dernières années et voir dans quelle mesure notre politique étrangère doit appréhender cette évolution. Cette évolution nous permettra également de savoir si le Conseil de Sécurité et l'Organisation des Nations Unies d'une manière générale seraient encore les lieux idoines au sein desquels il nous est toujours possibl
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Le Yémen: le Massacre à huis clos d'une enfance oubliée "A l'heure actuelle, le Yémen est l'un des pires endroits au monde" disait déjà en 2017 Gert Cappelaere, Directeur de l'UNICEF pour l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient. Aujourd'hui la situation est pire et presque tous les enfants et les personnes vulnérables au Yémen sont sous la menace de la mort par manque de médicaments, de vaccins et de simple nourriture s'ils n'ont pas été déjà déchiquetés par une machine de guerre redoutable et inhumaine. C'est en fait un crime de guerre et un crime contre l'humanité qui se passe à huis clos et ce, en dépit de certaines voix, peu nombreuses faut-il le souligner, qui se sont élevées contre cette hécatombe à ciel ouvert. Les Organisations Internationales ainsi que des Organisations humanitaires et des droits de l'Homme sont seules à sonner à chaque fois une a
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La Campagne contre le silence complice de Aung San Suu Kyi à l'égard du Génocide contre les Rohingyas a commencé à donner ses fruits La campagne engagée contre l'inaction complice de Aung San Suu Kyi, a commencé à donner ses fruits puisque Amnesty International vient de lui retirer le 12 Novembre 2018 son prix "d'Ambassadrice de Conscience" qui lui a été décerné en 2009. Amnesty International lui reproche son silence à l'égard du génocide commis par les généraux birmans à l'égard des Rohingyas, en dépit du rapport "d'établissement des faits des Nations Unies", présenté devant le Conseil des Droits de l'Homme dénonçant le génocide. En Août 2018 la Ville d'Edimboug, en Ecosse avait également retiré son "Prix de la Liberté" à l'intéressée et en mars 2018 c'est le Musée de l'Holocauste de Washington qui l'a déchue d'un prix qui lui a été décerné pour son combat contre la dictatur